Un coach qualifié, pour quoi ?
En cas de changements professionnels ou personnels, quand votre
capacité d'adaptation est saturée. Quand les choix semblent
inexistants ou inappropriés. Lorsque chaque jour augmente l'angoisse
de poursuivre un chemin incertain. Lorsque votre compréhension
de la réalité semble insuffisante pour faire les bons
choix.
Un fil conducteur :
Diagnostic, apprentissage, mesure, bilan.
Un coach comment ?
Fort de son expérience du changement, des hommes, des femmes, de
l'entreprise, de l'industrie et de l'organisation, vous accompagne
en ligne au téléphone, par mail ou en entretien direct.
Un coach qui vous guide pour:
. Privilégier des diagnostics factuels
. Faire le point sur vos besoins profonds
. Prendre conscience de votre identité et de vos valeurs
. Identifier vos schémas de réussite
. Utiliser les meilleurs outils de changement
. Définir un parcours de réussite grâce à des méthodes reconnues et
adaptées comportementales et cognitives>
. Donner à la réalité et aux émotions la place qui leur convient
.Repenser les organisations et les collaborations
. Choisir les bras de levier de l'efficacite du manager
. Vous appuyer sur vos capacités
. Soutenir votre développement personnel
. Contribuer à la réussite de vos équipes
. Maitriser les changements, pour les hommes, les equipes, les organisations.
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Un cadeau bienveillant pour les personnes.
Une démarche d'innovation sociale
pour les DRH et les CE : L'excellence dans la Responsabilité
Sociale des Entreprises passe par un outil simple : Le Chèque
Coaching qui permet de cofinancer l'accompagnement PRO et PERSO.
Le Chèque Coaching est l'outil indispensable des normes OHSAS,
et de l'amélioration durable des résultats.
Le stress coûte
chaque année 20 Milliards d'Euros aux entreprises européennes
(Commission Européenne 2001)
Des étapes formalisées et lisibles
Se rappeler ...
Le coaching n'est pas une psychothérapie. Votre coach n'est
pas un gourou.
Le coach travaille sur la réalité perçue aujourd'hui et le futur mais
pas sur les émotions passées, sauf pour réimprimer de nouvelles émotions,
compréhensions, compétences, souvenirs.
Votre coach personnel est un remorqueur de haute mer ou de ports
inconnus.
Une méthode de coaching pragmatique et novatrice , ancrée
dans :
. L'utilisation des outils du coach
. L'accompagnement cognitif et comportemental (TCC)
. L'aide aux personnes
. L'expérience de l'entreprise
. L'amélioration de la qualité des organisations
. La démarche grand projet
. La neurophysiologie
Un peu d'humour
avec
Homeophyto
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TV TOURS parle du coaching
Voir l'émission du 22 Octobre : Plus
facile à dire qu'à faire
La presse en parle : Entreprise & Carrières : 28/2/2000
Accompagnement : Le coaching en question
Le coaching de dirigeants ou de responsables se développe de plus
en plus dans les entreprises françaises. Mais qui sont ces prestataires
et quelle est leur légitimité à proposer du coaching ? Les réponses
restent approximatives. Qu'est-ce que le coaching? Pourquoi cette
méthode connaît-elle un tel succès? Qui sont les coachs? Comment travaillent-ils?
Quelles sont leurs références? Quelles sont leurs constructions intellectuelles
? Quel est leur rapport au pouvoir? Comment éviter la "gourouïsation"?
Comment choisir son coach? Autant de questions auxquelles une trentaine
de coachs et clients de coachs ont tenté d'apporter des réponses lors
de deux jours de séminaires organisés par le Club Stratégies. Extraits
des échanges.
Ni mage, ni réducteur de tête. Pour Sophie Soria, conseil en accompagnement
professionnel, le coaching aide à atteindre ses objectifs, mais ne
doit être ni une thérapie, ni une psychanalyse sauvage. Le coach n'est
ni un hiérarchique, ni un mage, ni un réducteur de tête. Il doit savoir
et faire savoir, tout en restant modeste et lucide. Toujours selon
Sophie Soria, coach et coaché doivent s'engager dans une démarche
respectant certains points: aucun jugement, aucun retard d'horaire,
assiduité, confidentialité vis-à-vis de l'entreprise, implication
du coaché, fibre participation et expression de celui-ci, développement
de. l'autonomie de la personne, adaptation permanente du coach. Yvon
Minvielle, sociologue du travail et consultant en entreprises, constate
que la demande sociale, individuelle ou provenant des entreprises
en matière de coaching est réelle et indéniable. Mais il s'interroge
sur cet emballement. Selon lui, les techniques utilisées par les coachs
sont le plus souvent tout à fait classiques (psychanalyse, psychologie,
PNL, analyse transactionnelle, gestion des émotions, langage du corps
... ). Rares sont les nouvelles démarches. " Le coaching ne serait-il
alors qu'un nouveau marketing de vieilles choses? " La seule nouveauté
étant le recentrage de la démarche sur un individu, alors qu'il y
a une vingtaine d'années, ce travail était plus volontiers fait sur
des groupes. Aujourd'hui, la valeur du groupe étant socialement et
intellectuellement dégradée, c'est l'unité individuelle qui est valorisée
par cette nouvelle forme d'accompagnement. La pratique et le processus
seraient différents, pas le contenu. Et Yvon Minvielle de critiquer
l'attitude de certains coachs qui, face à l'ampleur alléchante du
business, évitent de se questionner sur leur rôle vis-à-vis du pouvoir
de l'entreprise, des conflits, de la hiérarchie...
Déontologie et label. François Arfel, coach, reconnaissant la pertinence
de ces interrogations, affirme qu'une partie des réponses réside dans
la construction de la Société française de coaching (SFC), une association
réunissant environ 250 coachs volontaires pour partager une même déontologie.
La SFC dit ne pas vouloir et ne pas pouvoir se prononcer sur les références
théoriques et les méthodes utilisées par les coachs. Vu le nombre
d'écoles de références et de pratiques, un jugement serait absurde
et impossible. La SFC ambitionne néanmoins de mettre sur pied une
sorte de label qui serait attribué par des pairs. Autre point crucial
soulevé par l'association: l'importance de la propre formation professionnelle
des praticiens du coaching Cette position ne satisfait pas tous les
acteurs. et observateurs du coaching. Deux écoles s'affrontent. Certains
souhaiteraient un cadre plus précis à l'exercice de cette activité,
avec une reconnaissance et un contrôle des pouvoirs publics en termes
de métier, de formati on initiale et de convention collective... D'autres
ne veulent rien de tout cela, craignant une "administratisation" de
cette activité. Ils proposent de laisser le marché se développer et
que les clients soient responsables de leurs actes.
Et le marché se développe bel et bien. François Arfel estime qu'une
certaine crise de l'outplacement favorise l'éclosion du coaching:
les entreprises remplacent l'accompagnement de la personne après sa
perte de poste, par une gestion pas à pas de la personne à son poste.
La référence à l'entreprise est ici primordiale et au centre d'un
débat central:que doit le coach à l'entreprise et que doit-il au coaché?
Souvent, c'est l'entreprise qui décide d'offrir un coach à un salarié,
un haut potentiel ou un responsable en fin de parcours le plus souvent.
Selon François Arfel, la très grande majorité des cas de coaching
reposent ainsi sur une relation tripartite: coach -entreprise-salarié.
Après les interrogations sur les fondements du coaching et la pertinence
des coachs, Nicole Raoult, consultante et animatrice d'un groupe de
réflexion sur le coaching, pose finalement la question des effets:
" A quoi sert le coaching en termes économiques et financiers pour
l'entreprise? Si le coaching apporte au patron une con fiance en soi
tant mieux, mais est-ce le but du jeu ? (Cela ne sert à rien, si cela
n'a pas d'influence sur le business! " là encore, peu de réponses.
"Les coaches doivent-ils être payés en actions pour preuve de leur
efficacité? " poursuit Nicole Raoult. Aux Etats-Unis, les Business
Angels qui placent leurs capitaux dans des entreprises naissantes
font également oeuvre de coach pour les dirigeants de cette entreprise.
Leur gain final rémunère à la fois leur prise de risque financier
et la qualité de leurs conseils. N'est-ce pas un modèle intéressant
?
Qui est prêt à s'y engager? Un seul coach présent lors de ce séminaire
a déclaré avoir engagé tout récemment ce genre de démarche avec une
entreprise, sans savoir exactement où cela le mènera, mais il accepte
a priori de jouer le jeu.
Terminologie.
Une histoire de terminologie pour finir: Marie-Christine Thibault,
coordinatrice du DESS " Fonctions d'accompagnement en formation "
à 1'université de Tours a interrogé 15 étudiants américains présents
sur le campus, sur le sens du terme coach. Tous ont donné le sens
d'origine de ce terme: "entraîneur sportif" mais ils ne l'avaient
jamais entendu dans le sens d"'accompagnateur de responsable dans
le cadre de ses fonctions". Une consultante-coach travaillant beaucoup
avec les Etats-Unis a d'ailleurs précisé que son activité y était
plutôt qualifiée de feed-back giver. Attention aux faux amis, disent
les professeurs d'anglais. Dans le cas de la mode du coaching, cette
méfiance vaut bien plus pour une question de contenu, de méthodes
et d'objectifs visés, que pour une question d'appellation.
Laurent Gérard
presse online
referencement
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